mercredi 2 novembre 2016

Le corps de l’américaine, le sens de l’exception


Le corps de l’américaine” est une nouvelle de la série SPES que j’ai publiée en octobre 2013. C’est la première véritable enquête du duo Kevin et Roland. Leur première rencontre ayant eu lieu dans l’épisode précédent “Le début de la fin et lycée de Versailles”, épisode dans lequel Kevin intervient pour aider Roland à retrouver sa coéquipière Armelle.
Le pitch de ce deuxième épisode - en version courte - est : Un homme est retrouvé mort par asphyxie dans une voiture américaine garée dans un box de stockage mais… Le moteur de la voiture n’a jamais fonctionné, ni contenu d’essence, et la porte du box ne permet pas de faire entrer la voiture. On est clairement dans la lignée du “mystère de la chambre jaune” et consort. Je ne vous révèlerai pas le dénouement de l’intrigue (la nouvelle est encore disponible, toujours gratuitement, chez Smashwords, ou à la fnac et chez bien d’autres que Google se fera une joie de vous lister)


Cette enquête du SPES n’est pas beaucoup plus “extraordinaire” que toutes celles qui suivront (et qui suivent encore), mais cette nouvelle a une particularité : Depuis sa publication en octobre 2013 (soit, depuis plus de trois ans au moment où j’écris le présent article) elle n’a pas connu un seul mois sans téléchargement !
Partant de cette simple observation je tente de trouver un vrai motif à ce “succès”.
Ma première théorie est que le titre est le plus attractif de la série. Combien de lecteurs ont récupéré ce texte en espérant lire une histoire de jeune femme américaine aux mensurations parfaites (comme seules la littérature et la BD peuvent en proposer) ? Combien ont été déçus de constater qu’il s’agissait d’un jeu de mot, comme tous les autres titres su SPES, ou presque ?
Pour l’instant, je n’ai pas de seconde théorie capable de concurrencer ou invalider la première, mais je cherche encore.


Enfin, comme une règle ne vaut que si elle a des exceptions, le mois d’octobre 2016 est le premier mois sans téléchargement pour cette nouvelle (du coup, je dis une connerie quatre paragraphes plus haut). Il met ainsi fin à une longue période de 36 mois de “vie”. Record à battre !

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